Je finance un programme

En soutenant un programme, je sauve des vies.

La prise en charge des enfants atteints de cancer nécessite une approche globale médicale et sociale.

En Afrique, grâce à l’engagement des équipes sur le terrain, plus de 1 500 enfants, ont été soignés dans les unités d’oncologie pédiatrique, en 2019. Ils ne  représentent encore que 15 à 20% des enfants malades. 

Nous voulons que  tous tous les enfants atteints de cancer en Afrique aient accès à des soins de qualité.

Grâce à vos dons nous pouvons soutenir les équipes locales à guérir plus d’enfants et accompagner les familles.

Agissons ensemble.

 

Soutenez les programmes du GFAOP,  en faisant un don.

Le GFAOP est une association, loi de 1901, vos dons sont déductibles de vos impôts

1 - Je finance l'achat de médicaments anti-cancéreux

Projet : Participer au financement des médicaments anti-cancéreux
Objectif : 40 000 euros/ an .

Ne laissons pas les enfants mourir faute de médicaments tant qu’ils ne sont pas mis à disposition localement.

Dans le cadre de recommandations thérapeutiques de soins, le GFAOP est amené à fournir les médicaments anti-cancéreux non disponibles ou non sécurisés localement. 

Ainsi, deux fois par an, le GFAOP envoie de France les médicaments anti-cancéreux aux unités pour les enfants en traitement dans les services.

Le budget annuel est de l’ordre de 350 000 euros,  mais il augmente d’année en année car un plus grand nombre d’enfants est soigné grâce aux campagnes d’informations et de formation au diagnostic précoce réalisées dans les différents pays.  

Le GFAOP et les unités mènent un important travail après des industriels, des institutions nationales et internationales et collabore avec l’OMS afin qu’à terme les médicaments anti-cancéreux soient disponibles et pris en charge dans chaque pays.

2 - J’aide à lutter contre les abandons de traitement

Projet : participer aux dépenses restant à la charge des familles en créant un fond de soutien pour tous les services d’oncologie pédiatrique co-géré avec les associations locales
Objectif : 30 000 euros / an

L’absence de couverture sociale et de gratuité des soins laissent à la charge des parents des dépenses importantes : bilans sanguins, examens radio, achat de matériel (compresses, seringues..), parfois biopsie et chirurgie, et même coût journalier d’hospitalisation dans certains pays. Ces dépenses, de 500 à 5000 euros, selon les pays et les pathologies représentent des coûts très importants pour les familles. Elles doivent en plus faire face à d’autres dépenses pendant la durée du traitement de 3 à 6 mois : se loger, se nourrir. 

Cela entraine un taux élevé de non-traitements, de retards et d’abandons de traitement. Or il n’est pas éthique, après avoir effectué des campagnes de sensibilisation et de diagnostique précoce de ne pas donner aux  familles démunies les moyens d’assumer les dépenses liées à la maladie.

La mise à disposition d’un fond de soutien  dans chaque pays sera géré par l’association locale de soutien en collaboration avec l’équipe soignante afin que tous les bilans et  examens puissent être réalisés.

L’histoire d’Aboubacar, 3 ans

Un petit garçon de 3 ans, du Nord du Mali, une région isolée et difficile d’accès a été diagnostiqué d’un néphroblastome . Grâce à une chaine de solidarité locale, il a pu arriver dans l’unité d’oncologie pédiatrique à Bamako. Son papa, garagiste venait de perdre son emploi et n’avait pas les moyens de payer le moindre examen. L’équipe à fait appel aux bénévoles du GFAOP et c’est grâce à des dons collectés en France et gérés par l’association locale de soutien, qu’Aboubacar a pu suivre son traitement à Bamako et repartir dans sa famille.

 

3 - Je participe au fonctionnement d'une Maison des parents pour les familles

Projet : Participer au fonctionnement d’une Maison des parents, espace de vie, proche de l’hôpital où peuvent être accueillies les familles entre les cures de chimiothérapie

Coût moyen de fonctionnement est d’environ 40 000 euros
Objectif : 4 maisons  d’ici 2021 soit 160 000 euros (Kinshasa, Lomé,  Dakar et Marrakech)

À l’hôpital, les conditions de vie sont difficiles, les enfants sont souvent plusieurs par chambre, accompagné d’un parent qui vit sur place, dort à même le sol ou dehors dans le jardin de l’hôpital.

C’est la famille qui doit assurer les repas du patient. Certains enfants restent à l’hôpital entre 2 cures de chimiothérapie (le traitement dure entre 3 mois et 6 mois) car retourner au village est trop loin, trop cher (les services de cancérologie sont installés dans les capitales et nombre d’enfants viennent de régions agricoles isolées).

Afin d’éviter que le service à l’hôpital ne soit surchargé d’enfants, que certains enfants ne puissent pas poursuivre leur traitement faute d’un logement sur place et de permettre que les lits soient mieux utilisés pour les enfants en traitement, le GFAOP veut mettre en place des Maisons des Parents, à l’image des Maisons d’accueil en France.

Ces «Maison des parents», sont des lieux d’accueil indispensables à proximité de chaque unité, compléments non médicalisés du Service d’oncologie pédiatrique, lieux d’hébergement et de convivialité où les enfants peuvent vivre et se reconstruire entre les cures de chimiothérapie.

Les enfants peuvent y retrouvez le plaisir du jeu et oublier un moment leur maladie

La première Maison a été ouverte il y a plus de 20 ans à Rabat, grâce à l’association l’Avenir. Son ouverture a fait chuter le taux d’abandons de traitement de 40% à 4%!

Depuis 4 ans, l’unité d’Abidjan est dotée d’une maison des parents avec le soutien du GFAOP et d’autres associations: Soleterre, la Fondation Lalla Salma et l’association locale AEC.

A Kinshasa, grâce à un partenariat du GFAOP avec l’association AB CFAO, dans quelques mois une  maison sera opérationnelle 

En projet  : Lomé, Ouagadougou, Niamey, Dakar et Marrakech

Travaux de rénovation de la Maison de l’Avenir à Rabat, soutenus par La Fondation Régine Sixt d’aide à l’enfance

Une maison des parents plus grande à Abidjan avec le soutien de la Fondation Lalla Salma et de Soleterre

Les enfants dans la nouvelle maison à Abidjan

Travaux dans la maison des parents de Kinshasa soutenue par AB CFAO

4 - Je soutiens la formation des spécialistes du cancer des enfants en Afrique

Projet : La formation du personnel un pré-requis à la création et au développement des unités de soins en Afrique. De nombreuses spécialités médicales et para-médicales sont concernées.

Objectif : 10 bourses de formation pour les médecins et infirmiers 

Budget : 50 000 euros

Les modes de formation sont variés et adaptées aux besoins des différents spécialités impliquées dans le cancer pédiatrique.                   

Du Diplôme universitaire en oncologie pédiatrique, au stage en France, de la formation pluridisciplinaire, à un atelier de lecture de lames pour les anatomo-pathologistes, de la formation des agents communautaires de santé  à celle des attachés de recherche clinique ou aux misions sur place, chaque formation est d’abord la rencontre d’hommes et de femmes engagés pour partager leur expérience et améliorer la prise en charge des enfants atteints de cancer 

En retour, des missions en Afrique permettent aux équipes françaises d’appréhender les conditions de travail de leurs collègues et de trouver ensemble les solutions les plus adaptées. Des outils de E-santé et télémédecine mis à disposition dans certains centres permettent de demander des confirmations d’avis, de réflechir au traitements les mieux adaptés pour certains patients à travers des réunions de concertation pluridisciplinaires

Et pour que les liens soient plus forts et la collaboration encore plus efficace, le GFAOP a permis à plusieurs services d’oncologie pédiatrique du nord et du sud de se jumeler :

– Le CHU de la Timone à Marseille avec le service du CHU de Treichville à Abidjan

– Le CHU d’Angers et  et le CHU Sylvanus Olympio de Lomé au Togo,

– L’Institut Curie à Paris avec le CHU Gabriel Touré à Bamako au Mali.

– Le CHU de la Réunion et le service du CHU HJRA à Madagascar 

 

Mission à Kinshasa

Stages de l’équipe d’Abidjan: oncopédiatre, infirmier et aide-soignant à Marseille

Mission au Mali