J’aide à lutter contre les abandons de traitement

27 décembre 2020

  • Un don de : 20,00 € > C’est 6,80 € après déduction d’impôt de 66%
  • Un don de : 30,00 € > C’est 10,20 € après déduction d’impôt de 66%
  • Un don de : 50,00 € > C’est 17,00 € après déduction d’impôt de 66%
  • Un don de : 100,00 € > C’est 34,00 € après déduction d’impôt de 66%

Je fais un don !

Projet : participer aux dépenses restant à la charge des familles en créant un fond de soutien pour tous les services d’oncologie pédiatrique co-géré avec les associations locales
Objectif : 30 000 euros / an

L’absence de couverture sociale et de gratuité des soins laissent à la charge des parents des dépenses importantes : bilans sanguins, examens radio, achat de matériel (compresses, seringues..), parfois biopsie et chirurgie, et même coût journalier d’hospitalisation dans certains pays. Ces dépenses, de 500 à 5000 euros, selon les pays et les pathologies représentent des coûts très importants pour les familles. Elles doivent en plus faire face à d’autres dépenses pendant la durée du traitement de 3 à 6 mois : se loger, se nourrir.

Cela entraine un taux élevé de non-traitements, de retards et d’abandons de traitement. Or il n’est pas éthique, après avoir effectué des campagnes de sensibilisation et de diagnostique précoce de ne pas donner aux  familles démunies les moyens d’assumer les dépenses liées à la maladie.

La mise à disposition d’un fond de soutien  dans chaque pays sera géré par l’association locale de soutien en collaboration avec l’équipe soignante afin que tous les bilans et  examens puissent être réalisés.

L’histoire d’Aboubacar, 3 ans

Un petit garçon de 3 ans, du Nord du Mali, une région isolée et difficile d’accès a été diagnostiqué d’un néphroblastome . Grâce à une chaine de solidarité locale, il a pu arriver dans l’unité d’oncologie pédiatrique à Bamako. Son papa, garagiste venait de perdre son emploi et n’avait pas les moyens de payer le moindre examen. L’équipe à fait appel aux bénévoles du GFAOP et c’est grâce à des dons collectés en France et gérés par l’association locale de soutien, qu’Aboubacar a pu suivre son traitement à Bamako et repartir dans sa famille.